Jacques Attali : des raisons de ne pas désespérer

On a tendance à l'oublier, mais il y n'a pas que des mauvaises nouvelles. C'est que ce que nous rappelle Jacques Attali dans son dernier éditorial.
« Sans nier la gravité des périls, je voudrais rappeler ici une évidence trop souvent tue : la partie n’est pas terminée:
- En matière d’énergie, la bascule s’accélère. En 2025, selon l’Agence internationale de l’énergie, près des deux tiers des investissements énergétiques mondiaux – soit 2,2 milliards sur 3,3 – ont été orientés vers les sources renouvelables [...];
- Plus de 340 villes européennes réinventent leur mobilité en supprimant les parkings, en piétonnisant leurs centres, en promouvant les transports doux. À Paris, la pollution automobile a chuté de 45 % depuis 1990 [...];
- L’agriculture se régénère elle aussi : 15 % des exploitations mondiales adoptent désormais des pratiques régénératrices [...] »